Manera : la dernière guerre !
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Manera : la dernière guerre !

Manera est un rpg médiéval fantastique, il se joue avec un simple navigateur internet et est donc totalement gratuit.
 
Retour au jeuAccueilPortailDernières imagesRechercherS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -26%
Bosch BBS8214 Aspirateur Balai Multifonction sans fil ...
Voir le deal
249.99 €

 

 Arkhor: la naissance du mal

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Arkhor

Arkhor


Masculin Nombre de messages : 11
Age : 33
Localisation : Belgium
Date d'inscription : 11/08/2007

Arkhor: la naissance du mal Empty
MessageSujet: Arkhor: la naissance du mal   Arkhor: la naissance du mal Icon_minitimeDim 12 Aoû - 2:39

A une poque ou ne reignait pas encore la terreur et la guerre,
vivait un noble et légendaire guerrier nommé Arthus. Ses soldats se
battaient pour la liberté du peuble et ils assuraient la purification
des terres déchues et emprisonnées du mal. Il était reconnu par tous et
avait été courroné de plusieurs exploits. De l'autre côté, on le
craignait. Un héro qu'il fallait éviter.Un jour, ce jour où tout
bascula, il menait une campagne dans les marais, accompagné de quelques
hommes, il vit une vieille cabane abandonnée, où semblait vivre une
vieille dame. Ils furent attaqués par les branches visqueuses d'un
arbre. Deux hommes y laissèrent la vie, n'en resta que 2, prisonnier
des ces rêts de bois.
- SORTEEZ DE MON DOMAINE, cria la vieille dame en sortant de sa hutte.
- VILE SORCIERE, LIBERE MES HOMMES !
- Pas tant que tu me dit ce que tu es venu faire ici, mon jeune prince Arthus
Les deux hommes essayaient tant bien que mal de se dégager le coup de cette froide étreinte.
- Je viens te terrasser monstre.
- Ayez pitié d'une pauvre damee !!
- Peut-être que si vous me donnez quelques informations ...
-Plutot mourir !
-Ca peut se faire, dit il en plaçant sa lame sous la gorge de la vieiile.
- Sais tuuuu .... qui je suis ?
- Eclaire moi ?
- Aucune importance !
- N'as tu donc rien à me dire ?
- Dragnar, le seigneur orc compte attaquer la cité des elfes avec des machines de feu à la fin du mois d'automne, monseigneur.
- Tu es sure de celà ?
- Ouii ...
- Bien .... et qui es tu ?
- Améliaa, la sorcière des bois. Votre peuple a juré de me laisser en paix, tnt que je ne m'éloignait pas de cette forêt.
- C'était il y très longtemps... Relache mes hommes...
-Bieeeen sire.
Elle frappa deux fois dans les mains et regarda les branches lacher les deux
pauvres hommes qui prirent un grand bol d'air et se relevèrent.- Messieur, saisissez vous d'elle... Les deux hommes, hésitant puis dcidés, se jettèrent sur elle.- Enfermez la solidement dans sa cabane.- Que faites vous misérables ??
Ils
la jettèrent à l'intérieur et barricadèrent la porte. Le seigneur
Arthus pris une torche, l'aluma et la jetta à l'intérieur, sur une
table où la vieiile dame faisait ses expériences. Le bois pris comme
une allumette et il n'y eu bientot aucune issue. Les 3 hommes montèrent
sur leur cheval et sans se retourner, revinrent à pas mollaçon sur
leurs pas vers leur foyer.Ces cris sifflent encore dans ses
oreilles. Les cris d'une sorcière maudissant Arthus, criant des paroles
incompréhensibles lentement transformés en cris de douleur. Lorsque son
dernier souffle vida ses poumons embrasés, le feu s'arrêta aussitôt de
consumer la petite cabane et déjà la forêt rennaissait: les larves et
sangsues du marais se mourraient sur les berges d'une eau qui
commençait à se purifier, le soleil laissait couler ses premier rayons
depuis des siècles et quelques fleurs faisaient déjà leur apparition. A
l'orée du bois, Arthus se plia en deux de douleur. Il sentait dans son
corps comme si une lame lui tranchait les boyaux centimètre par
centimètre.
- Qu'y a-t-il mon seigneur, dit l'un deux deux soldats surpris.Arthus tomba de sa monture. Les deux cavalies se stoppèrent et touchèrent à leur tour le sol meuble.
- Vous avez mal mon seigneur ?
Il était à genoux, plis en deux comme pour l prière et se tenait le visage
entre les mains. L'un des deux soldats posa sa main sur son épaule,
lorsque brusquement, Arthus braqua son regard sur lui. Un visage noir,
oté de toute émotion surpris le cavalier qui tomba a la renverse. Sa
vie se finit assez brièvement. L'autre courrait à toute jambe vers un
quelquonque espoir de salut mais du offrir sa vie en sacrifice, lui
aussi, à ce nouveau monstre en train de naître.Lorsqu'il se réveilla, Arthus était dans une chambre, entourré de médecins et de quelques seigneurs.
- Il se réveille.
Il poussa quelques gémissements.
- Que s'est il passé ?
- Une ambuscade .... avec la sorcière ... ils sont tous morts...
- Laissez le se reposer, ordonna le médecin.
Pendan ce temps là, Gallen et son fidèle ami Esmal se rendaient à l'endroit de l'assaut pour voir si ce qu'avait dit Arthus était vrai. Non pas qu'ils
n'avaient confiance en lui, mais car ils voulaient en savoir plus. Ce
qu'ils découvrirentà l'orée du bois les terrifia: deux hommes en
lambeaux, pendus par un pied, répendant sous eu une marre infecte de
sang. Près d'un arbre gisait l'épée du seigneur, elle aussi remplie de
leurs sang. Ils ne comprenaient rien. Que s'était-il passé ? Ils
demandèrent à un haut prêtre de venire les aider à vaincre la force du
mal qui était à l'oeuvre dans les envirrons et le cef des mages de paix
lui même vint leur pêter main forte, accompagné d'un elfe.Quelques
jours passaient sans que le démon ne refasse surface, lorsqu'un soir,
tous le donjonfut réveillé par les cris d'une femme prisonnière des
flammes. La tour sud du château avait pris feu.
- Le démon est parmis nous cria unhomme en fuyant.
Le prêtre et son ami elfe sortirent leur armes. Après une lutte acharnée,
ils réussirent à maîtriser une bête à la peau aussi noir que ses yeux
et dégageant une aura maléfique d'une puissance incroyable. Dans
la cour du château, une bête au profil vacuement similaire à celui d'un
homme hurlait en essayant de se débttre de chaînes enchantées. Il était
adossé à un mur, hurlant de rage. Devant lui se tenaient le mage,
l'efle, Gallen, Lomyla la femme d'Arthus. Esmal vint les rejoindre en
courrant, avec es quelques mots perdu ds son souffle:
- Quelqu'un sait où est Arthus ? Je ne le trouve nulle part...
- Je pense qu'il est justement parmis nous dit le sage.
Toutes les têtes se retournèrent vers le vieillard
- Kyrri dan' omiar ci tifaeri oy zeloth' xayl !!
Tous se retournèrent à présent vers la bête qui petit à petit retrouvai apparrence humaine. Tous firent un pas en arrière en déouvrant le visage meurtri
d' Arthus. Lomyla voulu se jetter sur lui pour lui offrir les larmes de
son corps mais elle atterit dans les bras de Gallen, qui la retint.
- Irrr in' yackyl' oudoun.
- Qu'est ce que vous lui faites ?! cria t elle
- C'est un démon, il faut le purifier.
- Mais il va mourir ! Le démon et lui ne font plus qu'un ! s'exclama Esmal.
- Qu'il en soit ainsi ...
- Noooooooooon criala femme déchirée.
Le mage sortit la dague enchantée de son fourreau, sous les pleurs d'une
femme et du ciel. Allongé comme une vulgaire loque, il regarda autour
de lui et dit les noms de ses compagnons d'une voi à peine audible.
- Lomyla, est ce que c'est toi ?
Ses sanglots n'en furent que plus grands lorsqu'elle vit la main du sage
porter un coup au bas ventre à l'homme tout en rcitant des
incantations. Puis l'elfe jetta l'acier de sa dague dans la cage
thoracique de l'homme. Du sang noir srtit de sa bouche et son dernier
regard se porta sur le néant. La flamme d'Arthus s'tait éteint à jamais.Il
avait gardé en mémoire ses dernières images, ses yeux se vidant de vie,
voyant ses amis jeter un regard triste sur l'homme en train de mourir,
et écoutant ce "sage" lui tournant déjà le dos demader à tous ceux
présents de ne pas bruiter l'histoire. Son corps se décomposait et son
âme refusait de partir. La malédictions n'était pas finie. Il ruminait
ses dernières pensées et se repassait ses dernières vues en boucle.
Noyé par la haine à l'égard de ceux qui l'avient mis à bas aussi
lachement, ne comprenant même pas pourquoi, à l'égard de ces " amis "
qui restaient là sans lever le petit doigt lors que lui vivait ses
derniers instants, son coeur se consuma et devint aussi noir que la
nuit. On jetta le corps dans la forêt. Plusieurs jours s'écoulèrent et
la moisissure dégrada bien vite le corps mutilé. Soudain, une présence
vint troubler son amertume.
- Te voilà bien mal en point Sire
Arthus! hahahahaha C'est loin d'être fini ... dit la vieille sorcière.
Cela ne fait que commencer.
Elle posa sa main sur le crane décomposé de l'hommer et il sentit la vie le reprendre. Elle s'en alla en riant.Il se traina tout le long de la forêt, ses jambe n'étant plus en état de l'aider. Il se nourrit de la vie de certains animux et erra quelques mois dans la forêt, rampant comme un insecte. Il massacrait les elfes qui s'égaraient dans la forêt bordant leur royaume et aspirait leur vie, faisant de leur chair un nouveau corps.Il était encore
faible, mais il se recula et jura qu'à l'aide de sa magie et de sa
haine, il recrerait sa puissance de jadis pour assouvir sa vengeance et
pour faire subir sa souffrance à chaque être vivant sur Manera. Il
maudit cette terre et jura sa perte...
Revenir en haut Aller en bas
benjichodonosor




Masculin Nombre de messages : 162
Age : 41
Localisation : belgique
Date d'inscription : 11/08/2007

Arkhor: la naissance du mal Empty
MessageSujet: Re: Arkhor: la naissance du mal   Arkhor: la naissance du mal Icon_minitimeLun 13 Aoû - 10:53

Post édité!

cause : On ne fait pas de HRP dans la partie rp! les mp servent a se que tu avais écrit
Revenir en haut Aller en bas
 
Arkhor: la naissance du mal
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Manera : la dernière guerre ! :: RP :: Votre personnage-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser